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Saison 2009 – 2010

Victoria Block, Ehab Lotayef and Helga Schleeh Comme nous sommes Dan Brault Mixed Tape
Sylvain Bouthillette Oeuvres récentes Lise-Hélène Larin Glissements de terrains
Exposition annuelle des étudiants Eliza Griffiths Action Paintings
John Fox Refiguration Oscar Varese Feedback
Max Wyse Mexico Terrerium Ian Shatilla Defeating Victory
Horror Vacui Simon Bossé, Kristin Eiriksdottir,
Jim Holyoak et Patrick McEown

Victoria Block, Ehab Lotayef et Helga Schleeh Comme nous sommes

Vernissage: le lundi 28 juin à 18h
Rencontre avec les artistes: le jeudi 8 juillet à 19h

Communiqué de presse de l’exposition:

La galerie McClure a le plaisir de présenter le travail de trois artistes : Victoria Block, Ehab Lotayef et Helga Schleeh. Tous trois travaillent en communauté sur le dialogue entre groupes interreligieux. Ehab Lotayef, un musulman québécois pratiquant, photographie des problématiques locales et du moyen orient. Victoria Block et Helga Schleeh, quant à elles, travaillent avec la lumière comme médium, soulignant ainsi l’idée d’unité sous la diversité culturelle et religieuse.

Les artistes se servent fréquemment de l’intervention artistique comme d’un outil de médiation à la résolution de conflit; un processus à travers duquel ils espèrent pouvoir faciliter la compréhension entre les divers groupes culturels religieux et jeter plus de lumière sur des problématiques souvent oubliées.

Un thème commun aux œuvres de tout artiste est la référence sous-entendue à la fragilité humaine. De quelle manière cette fragilité est-elle protégée, apaisée ou rendue manifeste? Par quel processus lui donne-t-on voix en tant que facteur commun inhérent à l’expérience humaine? À travers les liens qui existent entre elles, les œuvres exposées montrent comment les artistes explorent ces questions dans leur pratique respective et, par le fait même, la mettent de l’avant.

Victoria Block est une peintre de paysage originaire d’Ithaca, New York. Elle vit et travaille à Montréal. Son travail fait partie de plusieurs collections publiques et privées entre autres à l’ambassade du Canada en Chine, aux États-Unis, au Mexique, au Zimbabwe et au Guatemala.

Ehab Lotayef est un poète et photographe canadien musulman vivant à Montréal. Son dévouement pour la justice sociale est évident et transparaît dans son œuvre. Sa collection de poésie « To Love a Palestinian Woman » a récemment été publié par TSAR.

Helga Schleeh a exposé dans plus de 50 expositions jusqu’à maintenant, incluant aux Nations Unies à New York, Beijing, Washington et Miami. Elle a travaillé avec le World Council of Churches pour les Nations Unies et a présenté une vidéo sur la beauté de la planète à Montréal lors de la dernière rencontre pour les changements climatiques des Nations Unies.

Heures d’ouverture : mardi au vendredi de 12 h à 18 h, samedi 10 h à 17 h

galeriemcclure@centredesartsvisuels.ca

Dan Brault Mixed Tape

Dan Brault Mixed Tape [Side A: Frankenstein / Side B: Hard smoke]

Vernissage:le jeudi 17 septembre à 18h
Exposition: 11 septembre au 3 octobre 2009
Rencontre avec l’artiste: le jeudi 17 septembre à 16h30

Communiqué de presse de l’exposition:

La galerie McClure a le plaisir de débuter la saison avec une exposition du peintre Dan Brault. Mixed Tape [Side A: Frankenstein / Side B: Hard smoke] provoque la rencontre d’images de diverses provenances esthétiques pour créer des tableaux aux styles et techniques variés allant de la peinture hard-edge à la bande dessinée, en empruntant à certains genres classiques comme l’abstraction gestuelle ou la nature morte.

Le peintre Dan Brault confronte les images. Sa démarche s’apparente à celle d’un DJ qui puise dans les sources existantes ainsi que dans ses images personnelles pour créer des nouvelles représentations. L’exposition reflète le soucis de l’artiste de questionner la mise en espace de ses tableaux. Tel un Mixed Tape la petite galerie [Side A : Frankenstein] présente des assemblages où divers styles se rencontre sur une même surface et la grande galerie [Side B: Hard smoke] est l’objet d’une rencontre entre des formats géométriques distincts et un contenu qui contraste, plus flou, flottant, et d’une certaine façon évanescent. La confrontation des deux salles provoque, elle aussi, un nouveau discours.

Esthétique hybride ou intemporelle, la peinture de Dan Brault joue avec notre capacité à classer et questionne même la notion de style ou mouvement artistique. Le spectateur est devant ses propres repères et appréhende, sous l’influence du DJ, les nouvelles associations qu’on lui propose.

Originaire de Montréal, Dan Brault vit et travaille à Québec. Titulaire d’un Baccalauréat en arts Visuels de l’université Concordia (2002) ainsi que d’une Maîtrise en Arts Visuels de l’université Laval (2006), il a présenté son travail dans nombreuses galeries et centre d’artistes du Québec et du Canada. Dernièrement, il participait à la 26ième édition du Symposium international d’art de Baie Saint-Paul. Son travail sera prochainement présenté au centre Art-Image (Gatineau). Il est représenté par la Peak Gallery à Toronto.

Lise-Hélène Larin Glissements de terrains

Lise-Hélène Larin Glissements de terrains

Vernissage: le jeudi 9 octobre à 18 h
Exposition: 9 au 31 octobre 2009
Rencontre avec l’artiste: le jeudi 15 octobre à 19 h

Communiqué de presse de l’exposition:

La galerie McClure a le plaisir de présenter une exposition de Lise-Hélène Larin. Glissements de terrains est une suite d’expérimentations avec un logiciel d’animation 3D. Ses images de synthèse sont des mondes paysagers mathématiques à travers lesquels elle questionne l’image de la nature et la nouvelle nature virtuelle de la représentation. Elle les désigne comme des « photos simulées » car une caméra virtuelle capte ses mises en scène de polygones qu’elle habille de textures intriguantes et qui paradoxalement évoquent des paysages.

Glissements de terrains questionne les conventions figuratives et narratives du cinéma d’animation 3D qui reposent sur la simulation. Lise-Hélène Larin joue sur notre perception avec ses images évocatrices, fixes ou animées, qui ne simulent rien d’autre que l’environnement virtuel dans lequel elles ont été conçues. L’exposition présente environ 7 « photos simulées » grand-format, 21 petits formats de plans fixes d’une animation et une animation 3D non figurative montrée sur grand écran plat. De plus, nous aurons un aperçu de ses nouveaux « objets mathématiques ».

Lise-Hélène Larin vit et travaille à Montréal. Elle termine actuellement un PhD à l’Université du Québec à Montréal et enseigne le dessin à l’Université Concordia ainsi qu’au collège Dawson. Elle a réalisé des films d’animation à L’ONF et à Radio-Canada et a reçu une bourse d’excellence sur sa recherche en animation 3D qu’elle questionne par l’abstraction. Ses films ont étés présentés dans plusieurs pays dont les États-Unis, l’Allemagne et la Belgique.

Eliza Griffiths Action Paintings

Eliza Griffiths Action Paintings

Vernissage: le jeudi 5 novembre à 18h
Exposition: du 6 au 28 novembre 2009
Rencontre avec l’artiste: le jeudi 19 novembre à 19h

Communiqué de presse de l’exposition:

(Action: the bringing about of an alteration by force or through a natural agency) L’exposition Action Paintings à la galerie McClure présente le nouveau travail de l’artiste montréalaise Eliza Griffiths. Elle expose un nouveau corpus d’œuvres figuratives en peinture et dessin qui propose de considérer différents types d’actions à travers la nature bidimensionnelle de la peinture. Elle utilise ses personnages habituels pour approfondir son exploration des dynamiques sociales et psychologiques entre individus à travers la représentation de comportements humains particuliers tels que la course, la bataille et le jeu. L’exagération des poses ainsi que son incarnation du corps dans l’action forcée, l’action suspendue et la non-action (tel que dans la pratique spirituelle Taoïste du wu wei), servent de métaphore pour poser des questions existentielles et métaphysiques complexes.

Comme dans son travail antérieur, sa préoccupation pour l’expérience humaine, la stabilité et la mutabilité de l’identité, le genre, le désir, l’amour et le trauma est transmis à travers un langage pictural qui propose une mise en scène suggérant une forte narrativité. À travers la création de personnages mis en scène dans ses tableaux, tel des captures écran d’un film, elle crée un dialogue et une ambiguïté entre la position du sujet et l’objet, le voyeur et celui qui regarde. Son travail plus récent élabore ce qui était au départ des explorations psychologiques touchant maintenant un espace psychique plus collectif.

Eliza Griffiths est née à Londre et a immigré au Canada à un jeune âge. Elle a obtenu un Baccalauréat en arts plastique de l’Université Concordia et a gradué en Histoire et Théorie de l’art à l’Université Carleton où elle s’est intéressée à l’histoire de l’art féministe et d’autre ‘marginaux’. Les peintures de Eliza Griffiths ont été exposées largement à travers le Canada et à l’international, incluant le Hallwalls Contemporary Art Centre (Buffalo), Mercer Union (Toronto), Saidye Bronfman Centre (Montréal), Platform Gallery (Londre), The Painting Centre (New York) et ARCO (Madrid). Son travail fait partie de plusieurs publicaitons telles que NYArts Magazine, Canadian Art, Border Crossing, C-Magazine et ARCO Madrid. Ses œuvres sont aussi présentes dans plusieurs collections publiques et privées. Elle vit à Montréal et y travaille comme Assistant Professor in Studio Arts à l’Université Concordia. Son travail peut être vu à cette adresse web www.elizagriffiths.com.

Oscar Varese Feedback

Oscar Varese Feedback

Vernissage: le jeudi 3 décembre à 18 h
Exposition: 4 au 23 décembre 2009
Rencontre avec l’artiste: le jeudi 10 décembre à 19 h

Communiqué de presse de l’exposition:
Feedback, une nouvelle série de Oscar Varese, présente des peintures tridimensionnelles combinant préoccupations sculpturales et sensibilité de la peinture. Le travail est librement inspiré des théories de Marshall McLuhan, ainsi qu’une recherche constante de l’artiste pour un nouveau langage visuel.

Le travail évite intentionnellement toute narrativité pour se concentrer sur les considérations minimalistes de l’objet lui-même permettant au spectateur une relation neutre et immédiate avec l’œuvre. Couleur, dimensions et proportions provoquent au même instant une réaction émotive, l’expérience et la mémoire. Au fait de ces contradictions, le travail tente de rétablir l’équilibre fragile entre les énergies positives et négatives tout en suscitant la réflexion sur les directions inattendues et subtiles qui surgissent entre ces frontières.

Le travail de Oscar Varese s’intéresse aux transformations sociales. Il fait allusion à la théorie de McLuhan évoquant la Technical Revolution caractérisée par la fragmentation, la spécialisation et la rationalité qui s’installe comme nouveau paradigme. « La révolution industrielle est perçue comme une extension de notre corps alors que la révolution électrique devient une extension de notre système nerveux, essentiellement un système d’informations et surtout un système de feedback. » C’est à travers cette collision/transition de mondes distincts que Oscar Varese poursuit sa recherche d’un langage personnel qui permet d’exprimer une croyance spirituelle voulant que l’on puisse trouver l’équilibre à l’intérieur du chaos.

Oscar Varese vit et travaille à Montréal. Il détient un baccalauréat en Studio Arts de l’Université Concordia et travaille depuis dix ans au département de design et installation du Centre canadien d’architecture. En 2001 il est retourné à Concordia pour compléter son second baccalauréat avec distinction en Design Art, concentrant ses études sur le design et la conception de meuble.

Ian Shatilla Defeating Victory

Ian Shatilla Defeating Victory

Vernissage: le jeudi 7 janvier à 18h
Exhibition: 8 au 30 janvier 2010
Rencontre avec l’artiste: le jeudi 14 janvier à 19h

Communiqué de presse de l’exposition:
La galerie McClure a le plaisir de débuter l’année avec une exposition des peintures de Ian Shatilla. Defeating Victory, à travers une esthétique ultra colorée et figurative, propose un mélange entre narrations imaginaires et engagement politique. Dans un langage hyperréaliste et à travers une combinaison de portraits, natures mortes et environnements fantastiques, ce nouveau travail tente de faire renaître des réponses et réanimer la croyance envers l’image engagée à travers une dissociation entre les personnages et les évènements d’aujourd’hui. Un catalogue de l’exposition a été publié.

Le cadre conceptuel de Ian Shatilla combine le langage pictural historique d’histoires culturellement transmises de générations en générations avec la nature envahissante de l’internet comme une forme virtuelle de bouche à oreille. Internet devient un outil où les gens on la possibilité de répondre spontanément à l’actualité. Des images de toutes sortes s’y retrouvent, dénaturées, sans censure, allant de la violence crue de Abu Ghraib jusqu’à des photographies hors propos comme des gâteaux de mariage et des ensembles de vaisselle en carton. Des contes virtuels émergent de la banalité du quotidien. Les constructions narratives de Ian Shatilla prennent source dans google images et les médias de masse et vise à représenter des questionnements moraux actuels. Il tente d’emmagasiner, enregistrer et restaurer notre croyance en l’importance de raconter, la mise en scène des contes classique et leur adaptation au contexte de notre époque.

Ian Shatilla vit et travaille à Montréal. Il détient un baccalauréat en art imprimé du Nova Scotia College of Art and Design et une maîtrise en peinture et dessin de l’Université Concordia. Son travail a été exposé au Canada dont à la galerie Art Mûr de Montréal, aux États-Unis, en Bulgarie et en Australie. Il enseigne actuellement au Centre des arts visuels.

Horror Vacui Simon Bossé, Kristin Eiriksdottir, Jim Holyoak and Patrick McEown

Horror Vacui   Simon Bossé, Kristin Eiriksdottir, Jim Holyoak
and Patrick McEown

Commissaire invité: Eric Simon
Vernissage: le jeudi 4 février à 18h
Exhibition: 5 au 27 février 2010
Rencontre avec le commissaire: le jeudi 11 février à 19 h

Communiqué de presse de l’exposition:

La galerie McClure a le plaisir de présenter Horror vacui, une exposition regroupant le travail de quatre artistes qui privilégient le dessin comme moyen d’expression. Le terme Horror vacui en arts visuels réfère à l’action de couvrir de détails la surface entière d’une oeuvre d’art de facon à ne laisser aucun espace inoccupé. En résulte une surcharge d’information visuelle dont l’hyperactivité graphique et l’absence apparente de hiérarchie vont jusqu’à gommer le contenu des images. Une impression de vertige plutôt qu’une reconnaissance précise de ce qui est perçu caractérise ces oeuvres.

Le travail de ces quatre artistes du dessin émerge de régions sombres et peu fréquentées de l’esprit. Cette exposition est en quelque sorte un compte-rendu débridé, élaboré lors d’errances mentales nocturnes, d’un petit groupe de singuliers spéléologues qui s’adonneraient en solitaire à l’exploration de territoires dont ils reviennent chargés d’images et d’objets.

Simon Bossé est né à Montréal. Il a participé à de nombreux projets BD tel que Comix 2000 (l’Association , l’appareil (la Pastèque) et a publié 2 albums (Intestine et Bébête) à l’Oie de Crava .
Kristin Eiriksdottir est artiste et auteure née en Islande où elle a publié trois livres de poésie et de dessin. Son travail a été exposé en Islande, en Allemagne et en Scandinavie. Elle termine une maîtrise en peinture et dessin à l’Université Concordia.
Jim Holyoak est né à Ann Arbor au Michigan et a grandi à Aldergrove, CB. Il a exposé son travail à Los Angeles, New York, Montréal, Vancouver et Victoria. Il termine une maîtrise en peinture et dessin à l’Université Concordia.
Patrick McEown est né à Ottawa. Il enseigne actuellement le dessin à l’université Concordia. Son roman graphique, The Hair Shirt vient de paraître chez Gallimard.
Eric Simon est le commissaire de l’exposition. Il est artiste en arts visuels et auteur de romans et d’essais. Il enseigne la peinture à l’Université Concordia. Son travail est représenté par la galerie Division à Montréal.

Sylvain Bouthillette Oeuvres récentes

Sylvain Bouthillette Oeuvres récentes

Vernissage: le jeudi 4 mars à 18 h
Exposition: 5 au 27 mars, 2010
Rencontre avec l’artiste: Jeudi le 11 mars à 19h

Communiqué de presse de l’exposition:

La galerie McClure a le plaisir de présenter le travail récent de l’artiste montréalais Sylvain Bouthillette. L’exposition rassemble des peintures grands formats ainsi que des sérigraphies en continuité avec la vision personnelle de cet artiste : un jeu entre une riche panoplie d’images populaires et un langage pictural personnel mélangé à un contenu et des considérations spirituelles; Bouthillette étudie et pratique le bouddhisme depuis des années. Il en résulte une esthétique sophistiquée à la fois frappante, puissante et provocante.

L’univers pictural de Sylvain Bouthillette déstabilise. Plusieurs de ses œuvres récentes donne à voir des espaces géométriques alliant plusieurs stratégies de composition. Nous sommes à la fois propulsés dans un nouvel espace temps et cloués au sol, incapables de bouger. La majorité de son imagerie joue avec cette ambivalence. Il recycle des éléments de son iconographie ou son bestiaire personnel : des rassemblements d’écureuils ou des essaims d’abeilles. Deux phrases reviennent tels des mantras. «Laissez tomber la tête dans le cœur, le cœur dans le ventre et remontez le tout dans le cœur» entour l’image, se glisse entre les abeilles ou trace la circonférence d’une toile circulaire ou des écureuils semblent vouloir s’échapper de l’image vers nous. D’autres mots, «Each one teach one», s’écrie du centre d’un tableau en minces lettres rouges tel un urgent appel bouddhiste. Le travail récent présenté à McClure confirme la réputation de l’artiste, un peintre qui crée un pastiche de nos anxiétés collectives et qui s’inclus facilement lui-même dans plusieurs stratégies artistiques et perspectives philosophiques qui peuvent être de potentielles sources de sens. Les œuvres touchent et provoquent.

Sylvain Bouthillette vit et travaille à Montréal. Il a obtenu une maîtrise en peinture de l’Université Concordia en 1990. Son travail a été présenté au Québec, en Ontario, aux États-Unis, en France et en Suisse. Il a participé à plus de 20 expositions solos et 30 expositions collectives. Sa pratique artistique prolifique incluse la peinture, la photographie, l’installation sonore et la musique. Sylvain Bouthillette est le sujet de plusieurs articles et revue d’exposition. Son travail fait partie de plusieurs collections publiques dont celle du Musée d’art contemporain de Montréal et du Musée national des beaux-arts du Québec. Il est représenté par la galerie Clint Roenish de Toronto.

Victoria LeBlanc
Director, McClure Gallery

Annual student show

Annual student show

Vernissage: le jeudi 3 avril à 12h
Exposition: du 4 au 21 avril 2010

Communiqué de presse de l’exposition:

Les étudiants inscrits à l’école d’art pour la session d’hiver sont invités à exposer leurs œuvres dans le cadre de notre exposition annuelle. L’exposition, qui regroupe une centaine d’œuvres réalisées dans une grande variété de techniques, donne aux étudiants la possibilité de voir leurs œuvres dans le contexte d’une galerie professionnelle. Elle offre aussi l’opportunité d’apprécier la grande diversité de la production artistique au Centre.

John Fox Refiguration

John Fox Refiguration

Commissaire invité:Sandra Paikowsky
Vernissage:le jeudi 29 avril à 18 h
Exhibition: 30 avril au 22 mai, 2010
Rencontre avec la commissaire: le jeudi 6 mai à 19 h

Communiqué de presse de l’exposition:

La Galerie McClure a le plaisir de présenter l’exposition John Fox / Refiguration, qui étudie le retour de l’artiste à la figuration au milieu des années 1980, après quinze années consacrées à la peinture non figurative. Historienne de l’art bien connue et compagne de John Fox pendant plus de trente ans, Sandra Paikowsky assume le rôle de commissaire de cette exposition.

John Fox / Refiguration rend hommage à un artiste remarquable, mentor et ami très cher de plusieurs d’artistes de la communauté montréalaise. L’exposition de la Galerie McClure présente une sélection généreuse et révélatrice de l’œuvre tardive de John : neuf grandes huiles sur toile, quinze pochades, vingt dessins et vingt-et-une aquarelles. On retrouve dans ces œuvres récentes les motifs figuratifs du début de sa carrière, mais celle-ci témoigne aussi de l’approche particulière de l’artiste pour peindre les lieux et les gens. Fox utilise la couleur comme structure et métaphore, forme et espace, pour révéler la vérité de la peinture. Comme le note la commissaire, les peintures « sont affaire d’esprit plus que d’imitation». L’exposition souligne aussi l’habile assurance et la facilité apparente du coup de pinceau ainsi que la ligne investigatrice et sensuelle pour lesquelles Fox fut grandement célébré. Tous les dessins, les aquarelles et les tableaux présentés n’ont jamais été exposé auparavant.

L’exposition est accompagnée d’un catalogue comprenant plus de 60 reproductions et des textes perspicaces et éloquents de Sandra Paikowsky et des artistes montréalais Peter Krausz et Michael Smith.

John Fox (né en 1927) a vécu et travaillé à Montréal. À partir des années 70, il a effectué chaque année de longs séjours à Venise où il est mort en 2008. Il a influencé des générations d’artistes à Montréal à travers sa longue carrière à l’Université Concordia et son dévouement envers ses amis. John Fox a eu de nombreuses expositions solo durant sa carrière et il a participé à des expositions de groupe à travers le Canada et au niveau international. Ses œuvres font parties des collections majeures publiques, corporatives et privées au Canada, aux États-Unis et en Europe.

Max Wyse Mexico Terrerium

Max Wyse Mexico Terrerium

commissaire: Hedwidge Asselin
Vernissage:le jeudi 27 mai à 18 h
Exposition:28 mai au 19 juin, 2010
Rencontre avec l’artisie: le mercredi 9 juin à 19h

Communiqué de presse de l’exposition:

La galerie McClure a le plaisir de présenter le travail récent de l’artiste montréalais Max Wyse. Mexico Terrarium rassemble des peintures grands formats de techniques mixtes sur plexiglas. Dans un univers ou s’entremêle corps, jardin et animaux, les tableaux de Max Wyse nous déplacent hors de l’histoire en compagnie de personnages délibérément engagés dans des actes magiques spontanés.

Ces nouvelles œuvres, comprenant deux frises de huit pieds, transforment la galerie en une sorte de chambre des rêves hallucinatoire. Amalgames sortis tout droit de son propre imaginaire et de figures de la mythologie aztèque, les êtres hybrides surréalistes de Wyse, en partie humains, en partie animaux/végétaux, s’investissent dans des tâches de restructuration de leur propre habitat. Wyse exerce une manipulation créative de la forme humaine qui résulte en des créatures sans têtes, ayant des torses reptiliens ou aux jambes comme des troncs d’arbre. Toute surréelle soit l’iconographie, les œuvres n’en démontrent pas moins un souci du détail et une palette subtile dignes d’un artiste chevronné. À leur propre manière, elles se font témoins du rapport de l’homme à son environnement, rapport qui se joue en dehors de la représentation du rituel et qui provoque une existence démembrée mais complétée par la nature, à la fois inquiétante et rassurante.

L’exposition est accompagnée d’un catalogue de 16 pages, avec des textes du commissaire et écrivain montréalais reconnu James D. Campbell. L’artiste tient à remercier le Conseil des arts du Canada et le Conseil des arts et des lettres du Québec.

Né en 1974, Max Wyse vit et travaille à Montréal. Son travail a été présenté à travers le Canada à Montréal, Vancouver et Toronto ainsi qu’à Paris et New York. Son travail fait partie de plusieurs collections privées et publiques dont celle du Musée régional de Rimouski et du Prêt d’œuvres d’art du Musée national des beaux-arts du Québec. Il est récipiendaire à plusieurs reprises de bourses du Conseil des arts et des lettres du Québec ainsi que du Conseil des arts du Canada.

Victoria LeBlanc
Director, McClure Gallery

 

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